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J’ai « vu des maisons tomber comme un jeu de cartes », et de nombreuses personnes qui « couraient dans tous les sens pour sauver leur vie. C’était une scène très effrayante », témoigne Mgr Paul Simick, évêque catholique du Népal. Basé à Katmandou, la capitale, à 80 km de l’épicentre, l'évêque poursuit : « Des répliques du séisme – il vient tout juste d’y en avoir une autre et j’ai dû courir loin de mon bureau – ont encore plus effrayé les gens, si bien qu’ils ont quitté leurs maisons et dressé des tentes en toile dans les rues et les champs ». La communauté catholique du Népal est petite et ne compte qu'environ 10 000 fidèles. Mgr Simick souligne la difficulté qu’il y a pour évaluer la situation sur le terrain, augmentée par les routes impraticables et l’absence de vols intérieurs. Lire la suite sur le site de l'Aide à l'Église en détresse