Franc-maçons, musulmans, anti-cléricaux, juifs : aucun d’entre eux n’était prédestiné à rencontrer Dieu tant ils en étaient loin — quand ils ne lui étaient pas complètement opposés. Tous ont pourtant reçu un signe les appelant à se convertir au catholicisme, que ce soit par une apparition de la Vierge ou par le murmure de Dieu dans un de leur rêve.
Avant 1950
Conversion fulgurante : Ratisbonne, de la haine antichrétienne aux jésuites
Alphonse Ratisbonne (1814-1884), athée d’origine juive de la moitié du XIXe siècle, est un cas exemplaire de conversion soudaine grâce à l’intervention de la Vierge Marie. Il a témoigné de cette rencontre dans une lettre bouleversante à l’abbé Dufriche-Desgenettes, envoyée en 1842, l’année de son entrée dans la Compagnie de Jésus.
Conversion fulgurante : Max Jacob, de la bohème au silence de l’abbaye
Le 22 septembre 1909, une vision du Christ sur le mur de sa chambre bouleverse la vie du poète et romancier juif qui n’aura désormais d’autre espérance que d’arriver à “ne plus pécher”.
Conversion fulgurante : André Frossard, foudroyé par le Saint-Sacrement
En 1935, le futur académicien et grand ami de saint Jean Paul II entre dans la chapelle des Filles de l’Adoration à Paris : c’est là qu’il rencontre Dieu et que son existence est bouleversée.
Conversion fulgurante : Israël Zoller ou la promesse de la synagogue
À l’issue de la Seconde Guerre mondiale et de sa conversion soudaine, le Grand Rabbin de Rome demande le baptême. Il prend pour prénom Eugenio, en l’honneur de Pie XII et en reconnaissance de son action en faveur des juifs durant la guerre.
Conversion fulgurante : Bruno Cornacchiola, l’homme qui voulait assassiner le pape
Il haïssait l’Église et le Pape jusqu’au jour où la Vierge Marie lui apparut dans la grotte des Trois Fontaines à Rome, en avril 1947.