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La prière du « Notre Père » comprend deux parties, a expliqué le Pape : en premier lieu, le chrétien « se soumet » à la providence et en second lieu, il exprime ses besoins au Père. Chaque prière porte en elle cette part de « contemplation » de Dieu et de « désir sincère ». Pourtant, le Seigneur « connaît beaucoup mieux que nous » ce que nous avons dans le cœur.
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À travers la parole « que ton nom soit sanctifié », première demande du « Notre Père », le croyant prie pour que « la sainteté de Dieu soit manifestée » dans sa vie et dans le monde. La sainteté de Dieu, « force en expansion », chasse le mal, a poursuivi le successeur de Pierre. « Quand Jésus commence à prêcher », a souligné le chef de l’Église, c’est précisément « le mal qui est affligé ». Ainsi, « la prière chasse toute peur ». Quant au mal, il n’est pas « éternel » et « ses jours sont comptés ».