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Il arrive qu’on juge durement l’autre. Et il peut arriver aussi que nous soyons nous-même en lutte avec le pardon de Dieu, que ce soit pour le demander comme pour le recevoir. Pour sainte Faustine Kowalska, la clé pour apprendre à pardonner autant à l’autre et qu’à soi-même se trouve dans la miséricorde divine. Cette dernière ne s’intéresse pas aux qualités de l’homme, mais, au contraire, à sa petitesse.
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Paradoxalement, ce sont les faiblesses physiques, psychologiques ou morales de l’homme qui attirent l’amour de Dieu. « Que les plus grands pécheurs mettent leur confiance en ma miséricorde. Ils ont droit avant tous les autres à la confiance en l’abîme de ma miséricorde », note sainte Faustine dans son Petit Journal ce message de Jésus. Comme encore celui-ci :
Toute âme qui croit et et qui a confiance en ma Miséricorde, l’obtiendra.
La clef pour vivre de la miséricorde est de reconnaître humblement sa misère et d’accepter de dépendre de Dieu. Afin de méditer sur la force de la miséricorde que nous sommes tous appelés à recevoir et à donner, Aleteia vous propose de puiser dans l’inspiration des paroles de sainte Catherine, saint Bernard, Paul, François de Sales, Jean Paul II… et de Jésus Lui-même :
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