Réjouissez-vous ! L’article que vous allez lire est entièrement gratuit. Pour qu’il le demeure et soit accessible au plus grand nombre, soutenez Aleteia !
*avec réduction fiscale
Il ne suffit pas de lire l’Évangile pour en comprendre le sens, « le jus », a prévenu l’évêque de Rome. Pour cela, les fidèles sont appelés comme les apôtres à accepter d’avoir besoin des autres et à « sortir de leur propres limites » pour rencontrer Dieu et se conformer à Lui et à sa « Parole vivante », a-t-il appelé.
Lire aussi :
La mission, un tremplin pour sa carrière ?
C’est donc seulement en faisant de « l’espace à l’action de Dieu » qu’ils pourront se faire missionnaires et rendre véritablement les autres « libres et responsables » devant Dieu. Car il s’agit d’annoncer l’Évangile non pas « pour soi-même, mais bien pour le Christ ». Cette attitude suppose d’abandonner le prosélytisme pour adopter la posture de témoin, a-t-il déclaré avec ferveur.
L’Esprit saint est le seul « protagoniste » de la mission, a encore rappelé le successeur de Pierre spontanément. C’est Lui qui pousse à annoncer l’Évangile à travers le témoignage, la diffusion de la Parole ou encore par le martyre. Par ailleurs, la joie demeure le signe caractéristique de l’évangélisation.
[script_connatix_id_article cnx-video= »906719″ token= »f646f46f-d6b8-41ee-a9bd-d922ad183fa9″ /]
Lire aussi :
Il faut à l’Occident un sursaut missionnaire