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« Une main a tiré, une autre a guidé… », soufflait le pape Jean-Paul II à Mehmet Ali Ağca, le 27 décembre 1983, alors qu’il lui rendait visite dans sa prison romaine de Rebibbia, à 15 kilomètres du Vatican. Deux ans plus tôt, cet extrémiste turc proche d’une organisation secrète d’extrême droite lui avait tiré dessus à bout portant, au milieu d’une place Saint-Pierre noire de monde. Miraculeusement rescapé, saint Jean Paul II lui avait accordé publiquement son pardon dès le 17 mai 1981. Un an après l’attentat, il s’était rendu à Fatima pour remercier la Sainte Vierge d’avoir détourné la balle ce jour-là.