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Le meilleur remède au doomscrolling

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Carolyn Lagattuta/Stocksy United

Anna Ashkova - publié le 15/10/22

Dérivé du verbe anglais "to scroll" (faire défiler), le "doomscrolling" désigne la consultation compulsive d’informations anxiogènes sur les réseaux sociaux. Addictive, cette habitude peut cependant être éradiquée en quelques clics…

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Dès le réveil dans le lit, dans les transports, dans la file d’attente du supermarché, au bureau ou dans le confort d’un canapé… La plupart des gens, surtout des jeunes, ont tendance à surconsommer les informations les plus inquiétantes sur les réseaux sociaux. Facebook, Instagram, TikTok… Bérénice scrute tous les jours son fil d’actualités. « Les titres glauques, ça me pousse toujours à cliquer », confie cette adolescente de 15 ans. De son côté, Paul, 17 ans, ne loupe aucune vidéo sur la guerre en Ukraine : « C’est plus fort que moi. Je ne saurai même pas expliquer pourquoi j’aime regarder en boucle ces images… » Quant à Benjamin, 20 ans, il est passionné par des « posts sur les catastrophes naturelles ». 

Cette habitude porte un nom anglais : « doomscrolling ». Traduisez le « défilement morbide » ou plus précisément le fait de faire défiler, de façon régulière et quasi-mécanique, les mauvaises nouvelles sur les réseaux sociaux sans s’arrêter. Une habitude qui concernerait surtout les jeunes. D’après une étude réalisée par l’entreprise NordVPN, 77 % des 18-24 ans font en effet défiler le matin, au réveil, des images ou vidéos sur écran de manière presque mécanique.

Quel antidote au doomscrolling ? 

Pourtant, cette habitude qui n’a aucun but précis, et qui peut durer des heures, aurait des effets néfastes sur la santé mentale des jeunes à la recherche des sensations fortes. En effet, selon une récente étude de l’université texane de technologie, le doomscrolling pourrait entraîner plusieurs troubles mentaux chez les adolescents : augmentation du stress et de l’anxiété ou encore de l’insomnie. Il pourrait aussi parfois provoquer la dépression. Il est cependant possible de mettre un terme à ce cercle vicieux et de reprendre son cerveau en main. 

Et non, il ne s’agit pas de bannir son téléphone ou de faire une digital detox. La solution est bien plus facile : lire Aleteia ! L’avantage est qu’on peut y rester des heures et « consommer » des articles inspirants et inspirés ! Un bol de bonne humeur et d’espoir garanti ! Et si on tient absolument au balayage de son écran d’un revers de doigt, Aleteia est aussi sur les réseaux sociaux. Contrairement au « dommscrolling », l' »aleteiascrolling » ne procure que des bienfaits ! 

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