Le choix d’une bague de fiançailles peut s’avérer compliqué, surtout lorsque l’on désire un modèle unique. Comment l’imaginer soi-même ? Selon quels critères faire le choix définitif ? Croquis, dessin, 3D, cire… Laudate, la marque de bijouterie et de joaillerie reconnue pour son savoir-faire de médailliste, offre un nouveau service : la création et la réalisation des bagues de fiançailles sur-mesure. Le but ? Répondre aux aspirations des fiancés et à leur désir de co-créer un bijou unique, celui qui symboliserait parfaitement leur histoire d’amour et leur engagement. Hubert Baggio est au cœur de ce nouveau pari de la marque annécienne (Haute-Savoie). Le joaillier accompagne chaque étape de sa fabrication, que ce soit en boutique (à Versailles, Lyon, puis Nantes, Lille et Bordeaux), ou en visioconférence.
Un processus artisanal, une souplesse numérique
Avant de travailler pour Laudate, Hubert Baggio avait réalisé des bijoux pour les défilés de haute couture, notamment pour la célèbre maison Lanvin. Pour lui, la bague de fiançailles n’est pas un simple accessoire. Elle est porteuse de significations très fortes : la promesse, le sens, et surtout l’engagement d’un couple nourri par le désir de cristalliser son histoire d’amour et de créer une famille. Mettre alors ce désir au centre de la réalisation, c’est finalement rendre les fiancés créateurs de leur bijou .
Il en est ainsi du crayon de couleur au dessin technique à échelle réelle, en passant par la cire, la sélection et le sertissage des pierres : la maison Laudate écoute, elle conseille les fiancés, avant d’apporter son savoir-faire, grâce aux techniques traditionnelles employées, pour aboutir à la représentation précise du bijou commandé. Concrètement, tout commence par un rendez-vous avec le joaillier en boutique ou en visioconférence. Ensuite, ce dernier présente au fiancé le croquis de la bague. C’est le moment de faire le choix de la pierre et le type de sertissage. Ensuite, une modélisation en 3D est réalisée, suivie d’une version en résine. La bague est enfin livrée au domicile du fiancé ou en boutique. Le processus dure en moyenne entre 4 et 6 mois.
Ma mission est de comprendre ce que la fiancée aime, quel est son style, son mode vie. Et à partir de là, je peux faire un premier dessin qui permettra aux fiancés de l’imaginer.
“Il est important de prendre son temps pour réfléchir aux différents critères de la future bague. Tout d’abord, celui du style de la fiancée. Ses goûts sont-ils minimalistes ou bohèmes ? Quelle est sa pierre préférée ? Quelle monture aimerait-elle ? Plutôt légère ou plus imposante ? Est-ce qu’elle aimera toujours ce style dans quelques années ? Il vaut mieux ne pas tomber dans le piège de réaliser une bague de fiançailles trop originale ou très dans l’air du temps”, conseille Hubert Baggio. Dès le premier rendez-vous, et pour aider les fiancés, il demande d’apporter des exemples des bijoux portés habituellement. “Le plus important est de rester fidèle à son propre style”, conseille-t-il.
Son autre conseil précieux est de préciser le mode de vie de la fiancée. “Le mode de vie est souvent oublié quand on choisit une bague”, remarque le joaillier. Selon lui, il est pourtant essentiel de définir si la fiancée est très sportive ou pas. Il faut savoir comment elle va porter la bague : tous les jours ou pour les grandes occasions ? “Il est essentiel pour moi d’être à l’écoute de chaque détail comme la couleur, la forme, l’éclat de la pierre… Ma mission est de comprendre ce que la fiancée aime, quel est son style et son mode de vie. Et à partir de là, je peux faire un premier dessin qui permettra aux fiancés de l’imaginer et d’y réfléchir”, poursuit-il.
Une fabrication 100% française
Après la validation du dessin de la bague et de sa modélisation en 3D, on passe à la production. Sous la direction artistique d’Hubert Baggio, plus de 80% de la réalisation des bagues de fiançailles est faite par l’école Saint Eloi d’Annecy. Celle-ci forme aux métiers de joaillerie les apprentis entre 15 et 18 ans. Une manière de soutenir la sauvegarde de ce type de métiers en France.
Le travail donné à ces jeunes apprentis permettra d’ailleurs de financer une partie de leur formation. Enfin, la qualité des produits est garantie par les maîtres d’apprentissage, d’anciens maîtres joailliers de la place Vendôme, à Paris, qui garantissent une qualité irréprochable.
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